À paraître en septembre !
Tag - Spectacle
mercredi 6 septembre 2017
Pigeon cyborg
Par L'Idée Sensible le mercredi 6 septembre 2017, 14:19 - Pigeon cyborg
mercredi 4 janvier 2017
Un monde sans livres (ou presque)
Par L'Idée Sensible le mercredi 4 janvier 2017, 16:32 - Sylvain Renard
Un monde sans livres (ou presque) vient de paraître aux Éditions
Color Gang
Je publie ici un texte écrit, il y a quelques temps sur la genèse de ce
texte.
...
Des Brigades de lecture de PaQ'la Lune au Monde sans livres...
Fin 2014, Christophe Chauvet me propose d'être auteur associé de la
compagnie PaQ'la Lune dont il est directeur artistique.
Clémence Allard, Christophe Chauvet, et moi avons rendez-vous pour réfléchir à
ce qu'on pourrait inventer, d'une part comme actions pour le quartier du Ranzay
à Nantes et d'autre part pour les Brigades de lecture.
La compagnie joue le spectacle des Brigades depuis dix ans. Ce sont des
interventions surprises dans les écoles, dans les classes mais aussi dans les
quartiers, dans les halls d'immeuble ou plus classiquement dans les théâtres.
Des brigadiers surviennent de façon inattendue, missionnés par un fictif
ministère de la lecture et de l'imprimerie nationale, ils lisent alors des
textes à voix haute. Manière de partager la littérature, la poésie, le théâtre.
Quoi de mieux pour cela que de proférer le texte? Sur le modèle des BIP
(Brigades d'intervention poétique), Christophe a créé le concept de ces
Brigades de lecture.
Sur le chemin du rendez-vous, dans ma voiture, quelques minutes avant notre
rencontre, j'ai une idée. Ça se passe souvent comme ça : un éclair, au
dernier moment une intuition, une envie. Je propose à Christophe et Clémence ce
jour-là de nouvelles Brigades de lecture dans lesquelles les Brigadiers
seraient missionnés par un nouveau ministère, cette fois de la Destruction des
Livres et de la Pensée. Les Brigades de lecture : mission anti-livre
pointent leur nez. Ces brigadiers interviendraient dans les classes pour venir
chercher les livres qu'ils auraient ordre de détruire. L'enseignant deviendrait
l'un des principaux suspects. S'il avait avec lui des livres, il tomberait sous
le coup de la loi. Et justement, il aurait des bouquins dans son
cartable ! Au cours de l'intervention, le chef de brigade par une
inavouable nostalgie ne pourrait s'empêcher de lire des passages des textes
avant leur destruction par le feu. Bien que ce soit parfaitement illégal, il
les lirait devant les élèves. Son collègue le menacerait. Mais finalement
séduit par les lectures, ils liraient ensemble, puis, tous les deux
s'engageraient dans une résistance aux directives fascisantes du Ministère
fictif.
Les grandes lignes du canevas naissent lors de notre rendez-vous.
Là-dessus, on examine un certains nombre de possibles actions pour le quartier
du Ranzay autour de la même idée. On se quitte avec le désir de travailler sur
ces bases.
Dans les semaines qui suivent, je me documente, je rêve aussi au projet. Je lis
Farhenheit 451. Je ne connaissais que le film de Truffaut. Je relis Akhmatova
que j'ai découverte peu de temps avant. Je regarde avec horreur, après une
petite recherche Google, les photos de l'autodafé de Berlin en 1933... etc...
C'est si proche.
Je me mets à travailler sur le texte des Brigades de lecture : mission
anti-livre. Elle est écrite et créée dans la foulée en janvier 2015 dans une
mise en scène d'Emmanuelle Cartron avec Julienne Belloche et Lionel Pavageau.
C'est le second texte de cet ouvrage dont on publie ici la version salle, sans
les allusions à un enseignant qui auraient des livres avec lui dans son
cartable.
Photo©Florence Chambournier
Quelques mois plus tard, je dois animer des ateliers d'écriture au Collège
Anjou Bretagne de Saint-Florent-le-Vieil dans le cadre du "parcours
lecture écriture" du Maine et Loire que propose PaQ'la Lune. Le lancement des
ateliers se fait avec l'intervention de la Mission anti-livre dans les classes.
La veille au soir, je cherche un axe pour mes ateliers et je me dis soudain
qu'ils pourraient prolonger le spectacle. Je projette d'écrire en parallèle à
mes ateliers une autre pièce qui se déroulerait dans ce cadre d'un monde où les
livres seraient interdits. Cette fois, les principaux protagonistes seraient
des enfants aux prises avec des brigadiers qui traqueraient les détenteurs de
livres.
J'écris dans les mois qui suivent Un monde sans livres (ou presque) avec la
collaboration des 24 élèves de la classe de 6°A et de leur enseignante de
français, Béatrice Pasquier.
D'atelier en atelier, je définis le scénario et les personnages. J'arrive
chaque fois avec le canevas de la scène à écrire, ménageant des espaces de
liberté aux élèves et je repars avec leur production. J'écris ensuite la scène
que je leur lis la fois suivante. De séance en séance, nous avançons dans la
pièce. Les élèves se prennent au jeu. Ils aiment les personnages. Ils veulent
donner leur version. Ils deviennent accros et moi aussi. Leurs textes sont de
plus en plus conséquents.
Au cours du travail, on apprend l'autodafé géant à la bibliothèque de Mossoul.
Nous écrivons une pièce drôle avec des brigadiers incendiaires clownesques,
mais sur un sujet gravissime et dont les résonances avec l'actualité sont
multiples.
Après quelques séances, je commence à lire les premières scènes à Rose, ma
fille de dix ans. Nous rions de bon cœur. Elle veut me lire les scènes à son
tour. Elle me demande de lui imprimer le texte. Elle veut le présenter à sa
classe de l'école élémentaire Ange Guépin à Nantes. À son retour de l'école,
elle me dit : "ils ont beaucoup aimé, ils veulent la suite". Ses camarades
et elle décident de monter les deux premières scènes qu'ils jouent peu de temps
après devant quelques classes et des parents. Ils montent ces scènes de manière
totalement autonome ! Fin mai, je leur donne l'intégralité du texte que
nous avons terminé à Saint-Florent-le-Vieil et ils décident de le monter pour
la fête de l'école. Leur spectacle est captivant !
Du côté de Saint-Florent-le-Vieil, pour clore le travail d'écriture avec les
élèves une rencontre est organisée à la médiathèque en juin par le Bibliopôle
et Sandrine Bernard avec la classe, les parents, les enseignants. Succès !
Il y a beaucoup de monde. Plusieurs enseignants du collège ont voulu assister à
cette restitution pour en savoir plus sur ce projet dont je leur avais parlé à
la cantine ou en salle des profs ; le principal du collège est là. Je sens
une véritable curiosité et un intérêt du public. Les élèves lisent une scène,
j'en lis une. On parle du projet. De la création. Chacun peut poser ses
questions. On parle théâtre ! Les yeux s'allument. Les gens aiment le
théâtre !
Photo©Florence Chambournier
Rentrée 2015, j'attaque la mise en scène de la pièce dans une nouvelle
distribution avec les élèves de l'école élémentaire Ange Guépin. Nous la jouons
aux Utopiales, le Festival international de science-fiction de Nantes devant
plus de 200 personnes, puis dans la salle polyvalente de l'école, et c'est
encore une aventure extrêmement forte de création collective ! Une vraie
création: avec un travail quotidien les dernières semaines grâce à la souplesse
et l'engagement des enseignantes Nathalie Auditeau et Mathilde Guiard. Des
collégiens du Breil voient notre pièce aux Utopiales et j'apprends quelques
temps après par leur enseignante de français, Barbara Thoby-Herman qu'ils
aimeraient la jouer, la monter à leur tour ! Ils m'invitent au collège à
les écouter lire la pièce. Je m'y rends ! Ils prennent visiblement
beaucoup de plaisir à la lire et je suis ravi de les écouter.
La pièce décrit un monde sombre où le gouvernement mène une politique qui
abandonne l'éducation. Et pourtant, elle n'est pas désespérée. Elle est drôle
et c'est déjà beaucoup de pouvoir rire de nos peurs.
Il y a un motif à l'intérieur qui me plaît particulièrement et qui me donne
envie de la partager, qui fait que le travail est un bonheur et fait simplement
sens, un motif qui me donne envie de l'accompagner jusqu'au bout : une
solution provisoire survient qui sauve momentanément les personnages. Cette
solution vient du sous-brigadier Tarte. Celui-ci change au cours de la pièce et
il est le vecteur de la solution. Rien chez lui ne le laisse supposer au début
de la pièce. Il est idiot. Il applique les consignes de l'État. On a envie de
se moquer de sa stupidité. On ne peut pas penser un instant que c'est sa
métamorphose qui sauvera les enfants. Et pourtant... Elle a lieu. J'aime
beaucoup l'idée qu'il sorte de sa chrysalide, je l'ai voulue presqu'au premier
jour. La pièce par cette péripétie finale est empreinte d'espoir. L'espoir
vient de là où on l'attend le moins. Et l'espoir, je me dis que nous en avons
tous besoin. Tout particulièrement maintenant, aujourd'hui.
Janvier 2016
Vous pouvez vous le procurer le livre chez les libraires nantais :
La Vie devant soi
Les Enfants
Terribles
Vous pouvez aussi le commander dans toutes les bonnes librairies,
sur Amazon, ou encore chez l'éditeur lui-même, Color Gang
dimanche 9 novembre 2014
Prochainement "Partir"!
Par L'Idée Sensible le dimanche 9 novembre 2014, 16:53 - Partir
mardi 31 décembre 2013
Préalables aux répétitions de "Partir"
Par L'Idée Sensible le mardi 31 décembre 2013, 19:28 - Partir
16/06/2013
Je voudrais que nous nous inspirions du théâtre japonnais...
que nous fassions bonne place à la stylisation
que nous ne retenions dans l'espace que les traits fondamentaux qui permettront
aux spectateurs de comprendre ce qui se passe,
que nous nous débarrassions du détail, du particulier.
Pourtant le texte de la pièce est réaliste.
Elle évoque de nombreux éléments de réel : Le RER parisien, le téléphone,
les tenues vestimentaires, la déco acidulée, la bière, la valise, la salle de
bain, le kebab.
Nous allons vider cependant tout cela du plateau.
Le rendre le plus abstrait possible.
Je voudrais qu'il y ait un décalage entre le jeu très stylisé, à la limite du
formaliste et le verbe, très naturaliste.
Hybridation.
Ce qui rapproche cette pièce des thématiques du Théâtre No.
Passion amoureuse destructrice.
Jalousie.
Mort.
Revenant.
Crystal est morte et cependant elle revient sous forme de souvenir et hante son
assassin.
La danse est celle d'un esprit vengeur qui poursuit Cool Man.
La danseuse et l'actrice sont des avatars de Crystal.
L'esthétique serait le noir et le blanc.
Le Yin et le Yang.
Et le rouge du sang.
S.R.
lundi 9 décembre 2013
Bientôt sur scène : Partir
Par L'Idée Sensible le lundi 9 décembre 2013, 15:12 - Partir
Du 20 février 2014 au 1er mars 2014 au TNT
Le TNT
lundi 11 mars 2013
OpenSpace : prochaines dates à Angers
Par L'Idée Sensible le lundi 11 mars 2013, 12:12 - OpenSpace
Au Théâtre du Champ de Bataille
Le 21 mars à 14h et 19h30
Le 22 mars à 14h30 et 20h30
Le 23 mars à 20h30
vendredi 15 février 2013
OpenSpace à Mayenne - Belle soirée!
Par L'Idée Sensible le vendredi 15 février 2013, 20:40 - OpenSpace
Avec Patrice Boutin, Claire Caigneaux, Claude Kagan et Fleur Monharoul
Texte et mise en scène : Sylvain Renard
Photos©Le Kiosque
vendredi 8 février 2013
Première d'OpenSpace au Théâtre de l'Écluse (Le Mans)
Par L'Idée Sensible le vendredi 8 février 2013, 16:52 - OpenSpace
© L'Idée Sensible
jeudi 20 décembre 2012
OpenSpace : petite visite préparatoire à Mayenne
Par L'Idée Sensible le jeudi 20 décembre 2012, 09:14 - OpenSpace
Semaine de rencontres avec de futurs jeunes spectateurs d'OpenSpace à
Mayenne et aux alentours.
Surréelle... Souvent au petit matin...
Le spectacle que vous allez voir a été conçu par de vrais gens, pas des
avatars...
On se met les mains dans le cambouis, pas de moyen plus rapide de faire
connaissance.
À l'aise dans la contrainte, déchaussée. Un doigt d'analyse.
Vous avez dit : écriture de plateau?
Des rencontres fortes! Merci Mayenne et à bientôt!
L'Idée Sensible en résidence au Kiosque du 6 au 13 janvier 2013
jeudi 15 novembre 2012
Répétitions d'OpenSpace
Par L'Idée Sensible le jeudi 15 novembre 2012, 15:54 - OpenSpace
dimanche 4 novembre 2012
Le sens d'OpenSpace - résidence au théâtre du champ de Bataille
Par L'Idée Sensible le dimanche 4 novembre 2012, 15:54 - OpenSpace
Premiers jours de répétition d'OpenSpace
On arrive vendredi au Théâtre du Champ de Bataille... Bien accueillis par Florent et
Philippe !
On y va en douceur...
Les 4 plateaux sont là.
Un peu de lumière...
Et hop ! Ça commence déjà à exister !
La scène nous appelle!
On photocopie le texte vite fait avec les modifications que j'ai apportées la
veille.
L'édition, c'est bien : y'a l'essence d'OpenSpace dedans.
Mais la partition que nous jouerons en janvier sera un peu adaptée quand
même.
J'approfondis le personnage de Futura dans la dernière partie de la
pièce.
Je me permettrai jusqu'au bout de bricoler de petites choses, si j'ai le
temps.
On relit quelques scènes à la table.
Puis on se lance. Premiers pas dans l'espace. Immersion. Création dans le cocon
du théâtre.
Quelques projos. De la vidéo. Les espaces. Le texte.
Et surtout : les acteurs !
Quelle chouette équipe : Patrice Boutin, Claire Caigneaux, Claude Kagan,
Fleur Monharoul.
Le travail se fait dans une qualité d'échange qui me plaît. EN RELATION.
C'est dingue d'avoir attendu tout ce temps pour passer au plateau et me mettre
à essayer de faire de la mise en scène.
C'est tellement fort !C'est tellement ce que je voulais.
Il en faut du temps pour faire ce qu'on a à faire.
En deux jours, dans la pénombre du théâtre, dans mon rapport au plateau, aux
acteurs, à ce monde d'OpenSpace que nous devons inventer, c'est là que je
comprends enfin les personnages de ce texte.
C'est nous peut-être...
Enfin, c'est moi, c'est sûr...
Et c'est beaucoup d'autres que j'ai rencontrés toutes ces années...
Zapf, Desdemona, Verdana, etc... ils fuient leur réalité pour toutes sortes de
raison.
Ils préfèrent l'illusion. Comme les gens de théâtre, non ? C'est là qu'est
le pont entre ces mondes...
Les personnages d'OpenSpace ont leur côté petits ou idiots pathétiques...
Ils sont durs et monstrueux parfois.
Mais on peut aussi les comprendre.
La vie n'est pas une mince affaire.
Et voilà, le sens profond de la pièce m'apparait enfin en débutant ces
répétitions : elle est née de mon goût de l'illusion et du rêve.
Et si, dans notre monde de chiffres et de sérieux, ça ne paraît pas très
réaliste d'encourager ce penchant.
On peut pourtant en faire un métier.
Et ce métier pourrait bien apporter des rêves nécessaires au
public !
Mais bon, trêve de songeries... le sens de la pièce.. c'est bien joli tout
ça...
Mais là... Nous sommes dans le vif du sujet.
Des hordes de problème hirsutes se profilent au loin, de graves soucis
techniques apparaissent tout proche...
Ça s'entasse minute par minute, ça s'accumule à mesure que nous progressons
pied à pied dans l'histoire.
Y'a décidément de quoi faire...
En 4 semaines... Va pas falloir perdre de temps !
Au programme : rêver en étant incroyablement organisé.
Y'a qu'à ! Gla ! Gla !
Angers, le 3 novembre 2012
Sylvain Renard
Photos © L'Idée Sensible
mercredi 19 septembre 2012
Du texte à la représentation ou de la représentation au texte ?
Par L'Idée Sensible le mercredi 19 septembre 2012, 12:25 - OpenSpace
« Pour moi le théâtre est un art très concret. Si j'aime le monde du rêve
et des fantasmagories, le théâtre me ramène vite à la réalité et ce m'est une
source d'équilibre indispensable pour communiquer au public ce que j'ai songé.
Mettre en scène OpenSpace, c'est une formidable occasion de peaufiner mon
écriture. C'est, ce sera, en effet, confronter la partition que j'ai établie en
rêvant, à la réalité du plateau, à la réalité des acteurs avec lesquels j'ai
envie de travailler. Ce sera sans cesse au cours des répétitions rebondir sur
cette réalité, s'inspirer des particularités, avoir le réel pour muse, et, sans
aucun doute, ajuster le texte aux salles dans lesquelles nous jouerons, aux
circonstances aussi. Je trouve très stimulant d'être dans ce va-et-vient entre
mon bureau et le plateau pour faire coïncider au plus juste mes idées et mes
envies aux outils de la représentation. Au final, il y aura une nouvelle
partition, plus complète que la première qui tenait dans un livre, car on
ajoutera intonations des acteurs, gestes, lumières, sons, ce sera la partition
unique de ces représentations que nous donnerons, et nous aurons œuvré dans le
sens qui nous touche de l'éphémère de cet art vivant pour le public... Voilà,
quoi... Y'a qu'à! Gla! Gla! »
Sylvain Renard, Nantes, le 18 sept. 2012.
vendredi 14 septembre 2012
Étonnante génothèque de la famille Debleu
Par L'Idée Sensible le vendredi 14 septembre 2012, 15:15 - TMScène
Guy Debleu et son assistante visitent le chantier.
Ouverture prochaine à Saint-Jean-de-Boiseau !
écriture collaborative : Sylvain Renard, TMScène
dimanche 2 septembre 2012
Bande-annonce d'OpenSpace
Par L'Idée Sensible le dimanche 2 septembre 2012, 22:15 - OpenSpace
vendredi 13 juillet 2012
Sylvain Renard collabore avec TMScène pour L'Irrésistible Apocalypse
Par L'Idée Sensible le vendredi 13 juillet 2012, 13:58 - TMScène
Nouvelle collaboration!
Nouvelle écriture!
Un spectacle de circonstance!
Première le 10 août au Château du Pé à Saint Jean-de-Boiseau.
© Elaine Guillemot
lundi 21 mai 2012
OpenSpace au Festival Sonor - Photos
Par L'Idée Sensible le lundi 21 mai 2012, 10:40 - OpenSpace
© Gwenaëlle Bérillon
mardi 8 mai 2012
OpenSpace en répétition...
Par L'Idée Sensible le mardi 8 mai 2012, 14:56 - OpenSpace
©S.R.
vendredi 20 avril 2012
OpenSpace au Festival Sonor
Par L'Idée Sensible le vendredi 20 avril 2012, 16:09 - OpenSpace
OpenSpace
Captation radiophonique en public dans le cadre du Festival Sonor.
Le 11 mai 2012 à 20:30
Réservations : 02 28 25 23 90
Texte et mise en espace sonore : Sylvain Renard
Avec Patrice Boutin, Claire Caigneaux, Claude Kagan, Fleur Monharoul
Création sonore : Anne-Laure Lejosne et Henri Landré
Une coproduction : L'Idée Sensible, Histoires d'Ondes et
Jet FM
Le site du Lieu Unique, c'est ici
Le site d'Histoires d'Ondes pour télécharger le programme intégral du Festival
Sonor, c'est là.
dimanche 5 février 2012
Publication de "Partir" de Sylvain Renard chez Color Gang
Par L'Idée Sensible le dimanche 5 février 2012, 21:39 - Partir
Partir
Sylvain Renard
Color Gang édition - février 2012 -
ISBN 978-2-915-107-61-6
88 PAGES - 10 EUROS
Collection Exercices
Avec le soutien du CNL
Extrait :
Il fait chaud ce matin
Non
Ne réponds pas
Crystal
Fais exactement
Comme si je n’étais plus là
Je n’arriverai pas à partir
Dans quel état faire cette valise
Me met
Je suis flingué
Drame
Cool Man plie bagage car Crystal le met à la porte. Alors qu’il
s’apprête à quitter l’appartement où ils ont vécu, il voudrait évoquer une
dernière fois sa passion pour elle, mais Crystal se tait obstinément…
Monologue théâtral
« Pour ce monologue, je voulais que Cool Man, seul en scène, s'adresse
néanmoins directement à Crystal. Pour une raison inconnue, cette dernière
demeurerait muette et hors de vue. On la devinerait pourtant non loin, à portée
de voix, dans une pièce contiguë. Sa présence silencieuse créerait la tension
dramatique, le suspens... » Sylvain Renard
Pour se procurer le livre, vous pouvez le commander sur le site de Color
Gang. C'est ici
Vous pouvez également le commander dans votre librairie habituelle.
« billets précédents - page 1 de 2